Ludus Dei
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Nadja C. Alario [Terminée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité



Nadja C. Alario [Terminée] Vide
MessageSujet: Nadja C. Alario [Terminée] Nadja C. Alario [Terminée] Icon_minitimeLun 19 Avr - 22:09

Fiche Standard



Bienvenue au Bal


« Vous vous êtes surpassé pour l'occasion on dirait ! Mais ici on ne laisse entrer personne sans s'être un minimum informé... »



Nadja C. Alario [Terminée] 151437Sans_titre_5
Agyness Deyn ©️ Pan

    Nom : Alario

    Prénoms : Nadja Chloé Hortense

    Age : 22 ans

    Lieu et date de Naissance : Paris, 7 octobre 1988

    Nationalité, origines : Franco-italienne, elle est née et a vécu à Paris, mais elle possède la double nationalité

    Lieu de Résidence : Venise, quartier Dorsaduro

    Métier / activité : Etudiante en cinéma, à l'Académie

    Statut (esclave, simple humain, résistant ?) : Résitante




Le Costume fait-il le moine ?



Nadja C. Alario [Terminée] Jack2i

« Déambulez parmi les autres invités, discourez et montrez-vous maintenant que vous êtes entré ! »


    Caractère (10 lignes minimum) :

      Nadja C. Alario [Terminée] 2ic9wkn_th
    L'esprit s'arroge un peu partout des droits qu'il n'a pas.

    Nadja s’est très tôt forgée un caractère bien trempé, il faut bien ça dans la vie. C’est donc une jeune fille indépendante, qui n’a jamais vraiment obéit à personne et n’obéira jamais à personne. Cette forte tête est donc également un brin individualiste, parfois même jugée égoïste. Etant extrêmement butée et fonceuse, elle ne supporte qu’assez mal la contradiction. On peut également dire qu’elle est curieuse, qu’elle s’intéresse à tout. Mais surtout Nadja ne supporte pas d’être prise pour une idiote, aussi elle fait son possible pour se cultiver le plus possible. Elle lit beaucoup par exemple, écrit aussi de temps à autre… Et elle se voue au cinéma depuis très longtemps, trouvant dans le septième art une véritable passion. Et au vu de son caractère la passion est quelque chose de puissant, qui peut mener très loin.

    Et puis, s’être élevée toute seule présente le net avantage d’être on ne peut débrouillarde et assez rusée, pas toujours dans le bon sens d’ailleurs, mais il faut bien survivre. Néanmoins l’inconvénient est que personne ne lui a jamais posé de barrières, elle ne se connaît donc pas de limites.

    La miss est aussi assez casse-cou et téméraire, ne reculant devant rien ni personne. Cela fait également d’elle ce qu’on appelle une sale gosse, insolente et à la répartie aussi rapide qu’incisive. Très mâture pour son jeune âge, Nadja sait dans quel monde elle vit, ce qui lui donne un côté un brin philosophe et surtout incroyablement cynique. Sa colère est donc à son image, entière, dévastatrice et sans merci. La Résistance peut compter sur elle pour aller liquider ces divinités mégalomanes, qui asservissent les pauvres gens ! Elle s’offusque également de la passivité des autres italiens, ne comprenant pas comment ils peuvent fermer les yeux sur ce qui se passe. C’est une femme d’action, il faut agir, survivre, se battre !

    Elle n’est pas totalement solitaire, avoir vécu en bande lui a permis d’accepter la vie en communauté. Toutefois, elle n’aime pas spécialement devoir se coltiner une bande de nunuches à tout azimuts. Elle est peut-être élitiste, exigeant de ses amis et des gens qu’elle fréquente une certaine intelligence, de la conversation, de l’humour. Bref, ses rapports sociaux ne sont pas toujours simple et on l’a vu envoyé une godiche de l’Académie sur les roses plus d’une fois.

    La petite Alario peut donc renvoyer l’apparence un être sauvage et quelque peu agressif, mais elle n’est pas dotée d’un mauvais fond. Elle possède même un certain sens de la politique, disons qu’elle a ses convictions et qu’elle compte les défendre, jusqu’au bout, coûte que coûte.

    Jusqu’au boutiste dans tous les sens du terme, elle est un être extrême. Avec elle, ce sera tout ou rien. Et même si elle a parfois du mal à s’attacher, une fois que c’est fait, vous pouvez compter sur elle pour la vie. Il ne faut toutefois pas venir quémander son pardon une fois, si un jour vous l’avez trahie ou déçue, ce sera peine perdue. Rancunière, elle a une trop grande exigence envers elle-même, sur le point de la loyauté, pour pardonner, accepter.

    Bref, Nadja peut paraître difficile à approcher et à aimer, de part son côté enragé et sauvage, mais elle se révèle être une jeune femme amusante, pimpante et pleine de vie. Cette dernière n’a pas forcément était tendre avec elle, mais elle se montre combative, vive. C’est une personne que l’on peut tout à fait compter parmi ses amis, il faut juste ne pas s’étonner de son comportement un rien excessif.

    Famille (5 lignes minimum) :

      Nadja C. Alario [Terminée] 090709094701751741
    Deux mains qui se cherchent, c'est assez pour le toit de demain.

    Nadja est la fille de Eléonore Célestine Marianne Jeanne De Fleury, lointaine descendante de la noblesse de robe parisienne, et de Silvio Alario, immigré italien de son état, on peut dire qu'elle a une famille assez hors du commun. Sa mère est décédée dans un accident tragique, à la Princesse Grae ou à la Lady D, ce qui affecta l'adolescente, alors âgée de 16 ans. Quant à son père... Mystère, il pourrait s'être noyé dans la Seine ou avoir vogué vers sa Florence natale...

    Histoire (40 lignes minimum) :

      Nadja C. Alario [Terminée] 2qdcx2d_th
    Je n'ai dessein de relater, en marge du récit que je vais entreprendre, que les épisodes les plus marquants de ma vie telle que je peux la concevoir hors de son plan organique, soit dans la mesure même où elle est livrée aux hasards, au plus petit comme au plus grand, où regimbant contre l'idée commune que je m'en fais, elle m'introduit dans un monde comme défendu qui est celui des rapprochements soudains, des pétrifiantes coïncidences, des réflexes primant tout autre essor du mental, des accords plaqués comme au piano, des éclairs qui feraient voir, mais alors voir, s'ils n'étaient encore plus rapides que les autres.

    Nadja Chloé Hortense, baptisée ainsi en l’honneur du roman de Breton éponyme, de L’Ecume des jours et d’une arrière grand-mère héroïque, naquit donc par une matinée ensoleillée d‘octobre 88, dans la superbe cité de Paris, dans une clinique privée tout ce qu‘il y a de plus huppé. On ne dirait pas, à la voir maintenant, qu‘elle a grandit dans un appartement immense en plein XVIème arrondissement parisien. Et pourtant si. Mais pour bien comprendre, peut-être faut il revenir un peu en arrière, encore un peu avant ce fameux 7 octobre.

    La rencontre d‘Eléonore et Silvio par exemple, elle vaut la peine d‘être racontée, certes pas par le menu. Mais comme cette aristocrate a épouser secrètement un prolétaire immigré italien, cela relève du conte de fée. Et en effet ça y ressemble fort, coup de foudre à Notting Hill, version par à Paris. Rien de très original en soit, même un peu cliché. Ils se marièrent en secret dans une chapelle du Quartier Latin, scénario épique s‘il en est et deux mois après, la Belle se retrouvait enceinte. Et le Clochard fuyait, loin, très loin de cet enfant effrayant venu empiéter sur ses rêves d‘ascension sociale et de gloire. Voilà donc la pauvre fille, alors âgée d‘à peine 20 ans, obligée de retourner chez elle tête basse et enceinte. Un conte de fée moderne n‘a pas forcément de happy ending…

    Et on peut dire que la superbe Eléonore, qui ne manquait ni de fougue, ni d‘argent, n‘aimait pas ce gosse qu‘elle avait mise au monde. Ce n‘était pas par méchanceté ou égoïsme, mais elle n‘était simplement pas prête à élever et s‘occuper d‘un enfant alors qu‘elle-même n‘était encore qu‘une grande gamine. Et hors de question pourtant de la laisser au mains de ces vieux cons d‘aristos coincés qui lui servaient de parents à elle. Alors Eléonore s’occupa du bébé puis de la fillette de son mieux, l’éduquant comme elle le pouvait, avec affection et une certaine tendresse, si ce n’est un véritable amour maternel. Mais l’enfant, dès l’âge de sept ou huit ans, se retrouvait souvent seule à la maison le mercredi, elle rentrait à pieds de l’école, rappelait à sa mère de signer le chèque de la cantine, des mots. Et puis, elle tâcha très tôt d’ignorer ces hommes qui défilaient à la maison, qui revenaient parfois mais qui à chaque fois qu’ils la voyaient, refusaient de rester prendre un dernier verre. Quelque part Eléonore dû en vouloir à sa fille de gâcher sa vie. Mais à mesure qu’elle grandissait, sa mère la supportait de mieux en mieux. Elle la livra à elle-même très vite mais s’intéressa à elle, en tant qu’être humain, quand elle devint adolescente.

    On ne manquait de rien chez les Alario (ce nom étant le seul souvenir d’un amour de jeunesse et d’un père, il resta). En effet, la famille maternelle de la petite Nadja roulait littéralement sur l‘or, merci les ancêtres et le sens des affaires. Et malgré l‘espèce de disgrâce d‘Eléonore, ils continuaient à l‘aider financièrement, bien que cette dernière collaborait à la direction d‘une galerie d‘art et ne manquait nullement d‘argent. Aussi, la vie ne fut pas matériellement difficile pour l‘enfant, bien qu‘elle ne fut pas gâtée non plus. Elle vivait dans une belle maison, mais avec une mère qui oubliait régulièrement la date de son anniversaire. Elle lui en voulut un moment, vers l‘âge de 13-14 ans, où elle se piqua de faire une crise d‘adolescence anticipée.

    Nadja commençait à boire, faire le mur, bref enchaîner les âneries que les autres font à 16 ans, ce qui était l‘âge moyen de ses amis d‘ailleurs. Mais elle avait l‘esprit vif et une éducation et une culture précoce, qui lui permit d‘être acceptée par des gens plus âgés. En effet, il y avait des livres, des disques, des peintures, des films, des dessins, des dictionnaires, des encyclopédies partout chez elle. Partout, au sens littéral, dans les étagères, par terre, sur des meubles, sous des meubles… Elle avait été bercée par la littérature, s‘instruisant plus vite que ses camarades, lisant des livres qui n‘étaient pas de son âge. On ne pouvait pas dire qu‘elle était surdouée, certains de ses compagnons des bancs d‘école étaient tout aussi alertes qu‘elle. Simplement, elle en surpassait la plupart en culture, en savoir.

      Nadja C. Alario [Terminée] 2gtt3c6_th
    Le coeur humain est beau comme un sismographe.

    Etrangement, elle s‘assagit à son entrée au lycée et c‘est là que ses rapports avec sa mère s‘adoucirent. Cette élégante femme blonde avec qui elle partageait un appartement était plus une colocataire qu‘une mère d‘ailleurs… Souvent, elles parlaient tard le soir autour d‘un verre de vin à la table de la cuisine, débattant sans fin sur la peinture de Kandinsky ou la prose de Vian, qu‘Eléonore adulait. C‘est à cette époque que la blondinette découvrit pleinement le personnage fantasque et décalé qu‘était sa mère et qu‘elle comprit véritablement pourquoi. Pourquoi elle avait préparé ses repas seule depuis ses 12 ans, pourquoi elle devait appeler le plombier elle-même, pourquoi elle avait des cadeaux un Noël sur deux. Et elle lui pardonna, ce fut sans doute la seule personne qu‘elle pardonna d‘ailleurs. Peut-être parce que c‘était sa mère ou peut-être parce qu‘elle la comprenait.

    Toujours est-il qu‘elle fut très attristée par la mort de cette femme qu‘elle commençait tout juste à apprivoiser vraiment. Autant l‘absence d‘un père inconnu ne l‘avait jamais vraiment affectée, à part durant son enfance, face aux autres enfants, autant la mort de sa mère la blessa profondément. C‘était stupide et classique, encore un cliché dans la vie de cette femme dont la vie aurait pu faire un film de série Z: une voiture, de la pluie, un verre de champagne de trop et un virage mal négocié. La mort attend parfois littéralement au tournant.

    La période qui suivit fut à la fois difficile et floue pour la jeune fille. Durant quelques mois, elle dû loger chez ses insupportables grands parents et elle frôla la dépression nerveuse. Mais finalement, elle sortit la tête de l‘eau, piqua une crise dont tout St Germain des Près doit se souvenir et obtint de rester seule à l‘appartement. Après tout, expliqua-t-elle, cela ne changeait pas grand-chose, si elle se sentait seule, elle inviterait des amis. Et non Mamie, je ne ferais pas d‘orgies, oui j‘engagerai une bonne et je ferai mes devoirs, non je ne casserai pas les bibelots… Après une longue série de discussions et de négociations, elle récupéra ce lieu qu‘elle affectionnait tant. Et bien qu‘il lui semblait un peu vide, elle pallia sans mal au problème.

    Durant ses dernières années de lycéenne, sa maison devient le QG officiel d‘une bande de jeunes bourgeois aux illusions perdues. Leur porte-monnaie aussi rempli que leur cervelle et cette dernière pleine d‘idées, ils refaisaient le monde plusieurs fois par semaine, écrivaient ensemble, buvaient ensemble, couchaient ensemble. Pas tous ensemble, je vous vois venir bande de pervers. Mais ils formaient un cercle uni, dans lequel tout se faisait facilement, il n‘y avait ni gêne, ni pudeur, ni tension. Ils avaient des projets, musique, écriture, peinture. L‘un d‘eux était un « réalisateur de courts métrages» et il insuffla à Nadja sa véritable passion pour le septième art. La demoiselle vécut un moment de la sorte, obtenant des résultats scolaires brillants et changeant de numéro de téléphone, pour fuir cette famille qui n‘était qu‘un compte en banque.

    Arriva la vraie majorité, le bac mention très bien, un accès pour l‘école du Louvre et l‘héritage pharaonique de sa mère. Et des grands-parents qui lui coupaient les vivres du même coup, bien que cela ne changea pas grand-chose pour elle. Sa mère lui léguait l‘appartement dans son testament et tout cela ne changeait rien à sa vie. Si ce n‘est une lettre qui lui fut donnée par le notaire avec toute la paperasse de l‘héritage. Lettre de son père, lettre d‘adieu interminable dont une feuillet portait l‘intitulé « pour Nadja, quand elle sera grande » C’était principalement un beau tissu d’excuses vues et revues, rien de bien folichon, mais aussi un hymne sentimental et poignant à la terre d’Italie. Elle ne devait pas oublier ses racines italiennes disait-il… Hormis prendre italien LV2, la jeune Alario n’avait pas cherché à s’intéresser particulièrement à la patrie paternelle.

    Aussi à la lecture de cet étonnant billet, qu’elle conversa d’ailleurs dans sa boîte à chaussure de souvenirs, Nadja formait des plans dans son esprit jeune et plein de vie. Elle termina le cursus en trois ans de l’école du Louvre et se retrouva avec une formation de conservateur de musée et un solide bagage d’histoire de l’art. Bien. Mais ce n’était pas ce qu’elle voulait, elle voulait le cinéma.

      Nadja C. Alario [Terminée] 311nmgl_th
    Il se peut que la vie demande à être déchiffrée comme un cryptogramme.

    Alors elle vendit son bel appartement du XVIème, récupéra toute sa fortune et ses biens, s’embarqua dans un gros camion conduit par un ami et prit la route, direction Venise. Pourquoi Venise et pas Florence, la ville de son père? Parce que cette ville avait une réputation magique et romantique, qui correspondait tellement mieux au cliché qu’avait été la vie de ses parents.

    Elle dégota un nouvel appartement, plus simple, plus sobre, dans le quartier qui abritait également l’université et lui évoquait les alentours de la Sorbonne. Elle s’inscrit à l’Académie et suivit des cours de cinéma, forte de ses 20 ans et de son amour de la vie retrouvé. Bon, pas un amour d’optimiste, mais un certain mordant. Le monde n’était pas spécialement rose, mais elle avait réussi à trouver des gens avec qui sortir, sans pour autant retrouver l’osmose passée de sa bande parisienne, qui lui manquait un peu parfois. Mais elle ne regrettait pas, ne perdait pas le contact avec la Ville des Lumières d’ailleurs, les moyens de communication ne manquent pas de nos jours.

    Bref la vie continua de s’écouler, sans rien avoir de bien folichon, si ce n’était que maintenant elle faisait des études qui la passionnaient véritablement. Le cinéma serait sa vie, foi d‘italienne !

    Tout aurait pu continuer assez paisiblement dans sa vie d‘étudiante, s‘il n‘y avait pas eu ses dieux et ses titans étranges… La gamine est certes une enfant des hautes sphères de ce monde, mais elle a toujours eu une dent contre l‘autorité et le pouvoir. Elle crache sur les dirigeants de ce monde avec tout son mépris de marginale, car il lui plaît de se voir comme telle. Et puis, finalement, ces oppressants personnages ont fini par véritablement l‘inquiéter et l‘interpeller, signaient-ils le début d‘une dictature, ces êtres curieux, éveillés de temps immémoriaux? Alors qu‘elle aurait pu être intéressée par un cas isolé, curieuse vis-à-vis d‘eux, ils lui inspirèrent une méfiance criante. C‘était bizarre, inquiétant, ces espèces de grands tarés mégalos.

    Et puis un jour elle entendit courir le bruit d‘un mouvement de Résistance parmi certains de ses camarades de l‘Académie. Apparemment ce haut lieu de l‘apprentissage était un nid de jeunes esprits rebelles et elle parvint sans mal à gagner les rangs des dissidents et se fit naturellement une place parmi eux, prenant activement part à ce mouvement naissant mais déterminé. Elle est entrée en Résistance avec l‘image que peut en avoir quelqu‘un qui a été élevée en France, à grands coups de cours d‘histoires sur la Seconde Guerre Mondiale. Toutefois, elle n‘est pas idéaliste et ne se pose pas elle-même en héroïne. Nadja désire simplement se battre, jouer son rôle dans ce monde. Et advienne que pourra, elle luttera jusqu‘au bout.

    Vénération (votre humain admire-t-il un dieu en particulier, est-il son esclave, ou bien n'a-t-il ni dieu ni maître ?) : Nadja ne vénère rien, personne, jamais !




Derrière le Masque


Nadja C. Alario [Terminée] Jack1w

« Allons, vous pensiez nous avoir trompés ? Nous avions bien vu que vous n'étiez pas seul sous votre cape... »


    Prénom / Pseudo : Ali

    Age : 16 ans

    Qui est sur votre avatar ? Agyness Deyn

    Disponibilité : Souvent

    Comment avez-vous découvert le forum ? Comme ça

    Code du règlement : Validé par Perséphone

    Un commentaire, des remarques, vos impressions sur le forum ? Ca roxe du poney par ici !



Icônes by Fox & SGR, Citations d'André Breton
Revenir en haut Aller en bas
Dante F. Vittore
Réceptacle d'Hypérion
Dante F. Vittore

Messages : 84
Date d'inscription : 02/11/2009


Carte d'identité
Âge du personnage: 29 ans
Vénération: je ne vénère pas, on me vénère !
Moi, moi, moi... et les autres:

Nadja C. Alario [Terminée] Vide
MessageSujet: Re: Nadja C. Alario [Terminée] Nadja C. Alario [Terminée] Icon_minitimeVen 30 Avr - 19:16

Validée très chère ! En espérant te voir tomber entre mes mains très vite Wink
Revenir en haut Aller en bas

Nadja C. Alario [Terminée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ludus Dei :: Du Chaos naquirent les Dieux... :: Le Tribunal :: Fiches validées :: Born to be Wild-