Ludus Dei
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Caprice Lorenzi/Até

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Caprice Lorenzi

Caprice Lorenzi

Messages : 6
Date d'inscription : 22/04/2010


Caprice Lorenzi/Até Vide
MessageSujet: Caprice Lorenzi/Até Caprice Lorenzi/Até Icon_minitimeJeu 22 Avr - 21:50

Fiche Roleplay



Bienvenue au Bal


« Vous vous êtes surpassé pour l'occasion on dirait ! Mais ici on ne laisse entrer personne sans s'être un minimum informé... »



Caprice Lorenzi/Até At
Eliza Dushku ©️Me

    Nom & Prénoms du réceptacle: Caprice Ambruzzio

    Nom de l'immortel : Até

    Age du réceptacle : 25 ans

    Lieu et date de Naissance du réceptacle : Venise, 13 Octobre 1986

    Nationalité, origines du réceptacle : Italienne.

    Lieu de Résidence : Venise, navigue entre son bureau et l'île de San Servolo où la déesse a décidé d'y trouver refuge.

    Métier / activité : Jeune PDG d’une grande multinationale

    Caractéristiques de la divinité Dans la mythologie grecque, Até est une divinité de la Fatalité, incarnant la folie et l'égarement. Elle est la fille aînée de Zeus et est suivie par ses sœurs les Lites. Elle est réputée avoir égaré Zeus lui-même, sur l'ordre d'Héra. Selon la légende, Zeus aurait empoigné Até par les cheveux et l'aurait projetée hors de l'Olympe, lui interdisant à jamais d'y remettre les pieds. Si Até reste une déesse dangereuse elle n'en ai pas moins extrêmement excentrique et particulièrement instable, capable de changer de décision jusqu'au dernier moment. La folie qu'elle incarne a pris l'ascendance sur tout son être ainsi que sur son hôte qui n'a son mot à dire que lors de ses très brefs instants de lucidité. Torturée par tous les éléments qui l'entourent, incapable de comprendre la réalité de son monde, la déesse s'en ai remis au dieu des Enfers puisque reniée par son propre père.


Dernière édition par Caprice Lorenzi le Mer 28 Avr - 1:46, édité 1 fois
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Caprice Lorenzi

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Caprice Lorenzi/Até Vide
MessageSujet: Re: Caprice Lorenzi/Até Caprice Lorenzi/Até Icon_minitimeLun 26 Avr - 17:22

Le Costume fait-il le moine ?



Caprice Lorenzi/Até Oop-1

« Déambulez parmi les autres invités, discourez et montrez-vous maintenant que vous êtes entré ! »



    « Chap 1 : Le travail c’est la santé ! »

    « Caprice ! Café ! », « Caprice ! Photocopies ! », « Caprice ! Message ! »...


    Quand on commence dans une grande entreprise, peu importe les diplômes que l’on possède, nous ne sommes rien, rien d’autres que des déchets, les relations que l’on entretient avec nos nouveaux collègues n’ont rien d’humaines, nous ne sommes que des robots au service d’autres robots, la sous-espèce du capitalisme grandissant, et c’est-ce que j’étais, une moins que rien, pendant un temps…
    Je ne peux pas dire que j’aime mon boulot, je ne peux pas dire que j’aime réellement autre chose que mon boulot, il me prend tellement de temps, tellement d’énergie, que je suis incapable de penser, je suis incapable de faire autre chose, d’ailleurs, je ne sais rien faire d’autre, mon boulot c’est ma vie, j’y passe des semaines entières, les jours fériés et mes congés. Oui, je suis ce genre de fille, celles qui n’ont aucune vie de famille, pas réellement d’amis et s’enferment dans un travail acharné pour fuir la réalité de la vie, cette triste vie bien monotone et sans avenir radieux, une vie futile qui finira à soixante ans dans un mélange d’alcool et d’antidépresseurs. Je suis cette fille là, si fade cachée derrière mes tailleurs, mes chemisiers bien pliés et mes petite lunettes, celle qui possède toujours une demi-douzaine de post-it, un stylo de différentes couleurs dans chaque poche, celle dont l’agenda est toujours le mieux organisé mais également le plus rempli. Petit à petit, à force d’acharnement, je suis devenue indispensable, mes collègues s’en remettaient toujours à moi, me laissant le plus gros du boulot. Je n’étais pourtant pas naïve, je savais pertinemment qu’on m’utilisait, mais quoi faire d’autre? Je n’avais pas d’enfants, j’avais exclu toutes relations amoureuses, rien ne pouvait m’empêcher de réussir ma vie professionnelle où j‘excellais, oh que oui, j‘excellais !
    J’ai toujours été particulièrement discrète, passant pour la bonne poire de service, la brave fille sur qui tout le monde pouvait compter, j’ai pourtant su utiliser cet atout avec intelligence et patience puisque mes efforts s’avérèrent payants...

    « Vous aimez cette boite mademoiselle Caprice? »
    Me dit l’homme à moitié couché dans son énorme fauteuil en cuir, des lunettes de soleil cachant ses cernes, dernier vestiges d’une soirée bien arrosée sans doute. Dans le monde des affaires, cet homme, on le compare à un requin. Virgil Mastoiani est un homme particulièrement arrogant, narcissique mais également ambitieux et avant-gardiste, c’est le grand patron de la « Mastroiani international » autrement dit, en l’espace de quelques années, il a su faire parti des grands d’Italie, si vous saviez comme je le respecte.

    « Oui, monsieur! » Répondis-je alors timidement, serrant un peu plus mon attaché caisse contre moi, le regard fuyant. Je ne sais toujours pas pourquoi LE boss m’a fait appelé, j’ai l’estomac noué et la gorge sèche, pitié ! Pourvu qu’il ne me vire pas…Le licenciement, c’était la pire chose qu’il pouvait m’arriver à cette époque, si seulement je pouvais imaginer ce qu’il m’attendait…

    « Hum…Votre dossier est très impressionnant ! Harvard ! Whaou…Vous êtes d’origine américaine? » Me demande-t’il en parcourant brièvement mon dossier ouvert face à lui.

    « Non, simplement…Ma tante s’est installée là-bas, alors mes parents m’y ont envoyé pendant quelques années… » Je ne peux pas voir son regard briller d’une lueur d’admiration, tout ce que je vois c’est son sourire craquant. Ahhh…mon patron est un play-boy et je suis une de ses plus grandes fans, et aujourd’hui il me parle, prononce mon prénom et me sourit. Je rougis légèrement et me ressaisit très vite, que cherche-t’il exactement? Il est hors de question que je passe sous le bureau, je suis arrivée jusqu’ici en travaillant d’arrache-pied, je suis intelligente et brillante, jamais je ne me rabaisserai à ce genre de…

    «  Bon…Vous êtes engagée ! » Déclara-t’il d’une voix ferme coupant court à mes réflexions de paranoïaque.

    « Pa…pardon? Comment ça?…Mais je travaille déjà pour vous… » Répondis-je bêtement, mes grands yeux chocolat l’observant avec étonnement.

    Lui, il éclate de rire, il me prend surement pour une idiote, mais enfin, je ne comprend toujours pas ce qu’il a voulu dire, engagée où? Pour quoi faire? Je suis déjà assistante de l’assistante d’un conseiller en relation humaines, que veut-il que je fasse? Il continue d’éclater de rire, ce qui a le don de m’énerver, qu’il parle vite ou je vais devenir folle, tout se bouscule dans ma tête, j’aimerai avoir une réponse claire et précise…

    «  Vous êtes ma nouvelle PDG Caprice ! Je sais récompenser les efforts de mon personnel…Vous êtes particulièrement brillante et vous passez des nuits pas possible au bureau, vous êtes parfaite pour ce poste! J’ai besoin, voyez vous, d’acquérir de nouveaux marchés un peu partout dans le monde et pour cela, il me faut des gens de confiance et investis dans le travail ici, en Italie ! Pensez vous relever le défi, jolie Caprice? »

    Ahh…j’ai envie de pleurer, de sauter de joie, de serrer cet homme dans mes bras, d’hurler comme une folle dans les couloirs, de jeter mon sac en l’air, d’embrasser cet inconnu dans l’ascenseur, d’invités mes amis au restaurant le plus cher de la ville… L’ennuie c’est que je n’ai aucun ami avec qui fêter la nouvelle alors je souris modestement et ressort comme si de rien n’était en remerciant chaleureusement mon patron. Après une demi-heure de trajet en bus, je finis par rentrer dans mon 32 m² où je quitte immédiatement mes talons et m’affale sur mon lit Ikea, ça y est, mon rêve vient de se réaliser…Je ne sais plus s’il faut rire ou pleurer. Que ma vie est insipide !!



    « Chap 2  : Stone, le monde est stone...»

    - Non, il est hors de question que l’affaire nous échappe ! Ecoutez moi bien Pedro, le boss veut cette filière, débrouillez vous comme vous voulez, employez tout les moyens possibles mais je veux qu’à la fin de la semaine ce foutu contrat soit signé, vous m’avez bien compris, sinon je ne donne pas cher de votre emploi ! Je raccroche le téléphone avec rage.
    Tss….le personnel, il faut sans cesse être derrière. Je finis ma quatrième tasse de café de la mâtiné, et me lève excédée. J’observe Venise à travers la grande baie vitrée face à moi, situé au dernier étage de ce gratte ciel, mon bureau est si grand qu’il pourrait abriter une trentaine de chinois. Je porte des tailleurs Chanel, des chaussures Louboutin et des sacs Prada. Je suis devenue en l’espace d’un an à peine une femme importante, pleine de responsabilités.
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Caprice Lorenzi/Até

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